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| Julian - Le passé ne cesse de hanter le présent | |
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Julian Davidson~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ › MESSAGES : 16 › AVATAR : Colin O'Donoghue › CREDIT : .... › PSEUDO : irl
| Sujet: Julian - Le passé ne cesse de hanter le présent Mar 19 Mar - 16:10 | |
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FEAT COLIN O'DONOGHUE (C) TUMBLR
julian davidson l'oubli est un cadeau qui peut se muer en malédiction ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
NOM : davidson PRÉNOM(S) : julian DATE ET LIEU DE NAISSANCE : un 13 octobre, à New York ÂGE : 28 ans ORIGINES : irlandaises et américaines STATUT CIVIL : je suis célitaire ORIENTATION SEXUELLE : je suis définitivement hétérosexuel. PROFESSION/ETUDES : j'ai été dans l'armée durant quatre ans avant d'être envoyé en prison. Aujourd'hui, ce n'est plus ma priorité GROUPE : lost here. be proud of who you are. ~ comment as-tu découvert la légende de l'avenue Stanley Hall ? Je viens de débarquer, et pour être terriblement franc, les légendes et la mythologie ne m'intéressent pas. Je suis venue pour une femme et non pour entretenir des conversations au sujet de revenants ou d'événements paranormaux qui n'existent que dans l'esprit malade de ceux qui sont trop effrayés d'affronter une réalité difficile. Je ne m'y attarde pas, je préfère affronter la vie et les épreuves qu'elles déclenchent sans me demander mon avis, et auxquels je ne peux que me confronter. La réalité est déjà assez pénible sans y rajouter des histoires à dormir debout. ~ penses-tu que cet événement est réellement eu lieu ? J'aurais pu me contenter de rire à une telle question. Je n'en pense pas grand chose, tout comme je ne sais si des évènements étranges et surnaturels ont frappé cette ville … ou bien une autre. Mais si jamais je rencontre un fantôme ou bien une créature inhumaine, je vous promet de lui donner toutes les coordonnées nécessaires pour qu'il puisse vous rapporter lui-même sa version des faits, ainsi qu'une opinion moins cynique et plus construite que la mienne. ~ quelle est la légende urbaine qui t'effraye le plus ? J'aurais pu me contenter d'en rire sans répondre. Une légende urbaine … celle d'un homme qui se bourre la gueule à l'aide d'un alcool puissant, sans tenir compte des passants qu'il peut écraser en conduisant sa voiture comme un débile mental, ce même homme qui rentre chez lui auprès d'une femme fragile, sur laquelle il tente d'asseoir une domination inexistante avant de la ruer de coups, de la blesser tant et si bien qu'elle finit par rendre l'âme. Voilà ce qui m'effraie et me hante, images terrifiantes qui n'ont été porté par des légendes sans fondement. La réalité m'effraie. Et elle est seule. - Irlande:
AGE : 22 ans PAYS : france. ES-TU UN SCENARIO ? un sacré scénario . FRÉQUENCE DE CONNEXION : 5/7 OU AS-TU CONNU LE FORUM ? Bazzart. QU'EN PENSES-TU ? j'aime! UN PETIT MOT POUR LA FIN : j'ai hâte de rp - Code:
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<taken>COLIN O'DONOGHUE</taken> <pseudo>~ julian davidson.</pseudo>
Dernière édition par Julian Davidson le Sam 23 Mar - 15:03, édité 6 fois |
| | | Julian Davidson~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ › MESSAGES : 16 › AVATAR : Colin O'Donoghue › CREDIT : .... › PSEUDO : irl
| Sujet: Re: Julian - Le passé ne cesse de hanter le présent Mar 19 Mar - 16:10 | |
| I FELT APART, COME BACK UP AGAIN. Ce sont tes yeux qui sauvent les miens de l'obscurité, tes yeux qui me maintiennent à la surface d'une eau dans laquelle je ne cesse de plonger. Le froid nous embrasse et des larmes se dessinent dans tes prunelles affamées. J'aurais aimé la protéger davantage des affres d'une existence que nous n'avions pas choisit, mais je ne parvenais à donner à Iseult, de deux ans ma cadette, la vie qu'elle méritait. Son beau visage était si pâle, marqué par le léger tremblotement de ses dents qui se frappaient continuellement. Je retirais mon manteau, donnant au froid de nouvelles occasions de mordre ma chaire partiellement mise à nue, et l'en entourais. « Tu vas … geler . » « Ne t'en fais pas pour moi » murmurai-je en la ramenant contre moi. Je n'avais pas le temps de pleurer la mort de mes parents, accidentelles, ni le temps de me lamenter sur notre situation. Nous nous étions enfuis lorsque le responsable des foyers nous avaient mentionné une séparation possible, nous nous étions sauvés, gravitant dans des rues que nous connaissions par cœur. Je n'avais aucune idée de ce que nous devrions faire et je ne parvenais à décider de la meilleure solution. Je ne pouvais la laisser mourir de faim et de soif, égoïstement. Les larmes perlèrent, battant mes cils, s'y accrochant tandis que je les essuyais fièrement. « Tu pleures ? » souffla t-elle surprise. Je plongeais mon regard dans le sien, puis murmurai. « Toi, tu as une chance d'être adoptée, d'avoir une nouvelle famille … il faut y retourner. » Ses traits se déformèrent sous la peur tandis qu'elle accrochait mon haut de ses petits doigts. « Tu vas m'abandonner ? » Le cœur percé de milles aiguilles, je secouais la tête, avant de coller mon front contre le sien, plongeant mes yeux dans les myosotis qui me fixaient. « Je veux simplement que tu sois heureuse. » « Alors reste » Ma sœur était tout ce qu'il me restait, la seule et unique chose qui comptait à présent pour moi. J'aurais donné ma vie pour la voir sourire, pour la voir s'épanouir et goûter à ce bonheur qui nous était désormais interdit. Malheureusement … je savais … oui je savais que je ne pouvais pas lui accorder ce qu'elle me demandait.
La nuit, ce sont ses cris qui me hantaient, ainsi que ses regards incisifs qui disaient ce qu'elle ne pouvait s'avouer. D'une certaine façon, elle avait raison. Je l'avais abandonné, conduite à accepter un destin dont elle ne voulait pas. Mais … malgré la peine qui étreignait mon cœur désarmé, lorsque j'appris qu'elle avait été adoptée et emmener, je ne pouvais me résoudre à regretter. Quel aurait été son avenir si nous étions resté dans ces rues sans foyer ? « Julian ? » Je retournai la tête et levais un sourcil devant le tableau qui s'offrait à moi. Un faux sourire para mes lèvres, puis mes doigts rejoignirent mes paumes en un geste réfléchit et inévitable. J'étais conscient de ce qui se profilait, et je m'y étais résigné avec un certain plaisir. « Je peux savoir ce qui se passe dans votre tête Davidson ? » Je haussais les épaules, peu amène de répondre. « Vos camarades sont défigurés, à l'hôpital ! Je ne peux pas tolérer pareille violence dans mon propre établissement ! » J'écoutai sans broncher, sans réelle intention de dévoiler les dessous d'une scène qui ne me désignait comme coupable. Le pouvoir … c'était ce que les adultes aimaient le plus, c'était ce que les enfants testaient continuellement. Cependant, même avant les drames qui avaient brisé ma famille, je n'avais jamais été un enfant très … sage et diplomate, doté, au contraire, d'une personnalité indépendante, dont les défauts les plus marqués s'étaient exacerbés. Je n'avais donc pas l'intention de dénoncer les menaces et les insultes de ces enfants qui avaient cherché à asseoir une domination inexistante. Je me moquais du fait d'être puni, n'ayant plus rien à perdre dans un monde où la seule personne qui comptait pour moi avait disparut. Les yeux dans le vague, dans ce lointain où elle ne pouvait m'atteindre, je songeais à ses cheveux bruns et à ses yeux bleus qui m'étaient dérober. Aimer faisait mal, mais aimer était également un espoir et au fond de moi, je savais que je parviendrais à la retrouver un jour, mais pas dans des conditions où l'enfermement me maintenait captif de cette femme aux cheveux gris et à la voix de hibou. « Je comprends que la perte de votre sœur soit difficile à digérer, et je songe sérieusement à vous faire voir un psychologue. » Je me fermais davantage, complètement hermétique. Je n'avais aucun intention d'obéir à cette femme acariâtre. En vérité … je n'avais pas l'intention de rester.
Le froid, qui sert nos entrailles dans les mains tortueuses de la faim. Mes poumons se resserrèrent, mais je me laissai entraîner, quittant des yeux l'illustration même de ce que j'avais été il y a quelques mois, avant d'entrer dans ce gang qui s'était révélé être une famille. Je grandissais sans elle, m'épanouissais dans l'ombre tandis que j'espérais pour elle la lumière. Je pensais pouvoir m'en sortir, mais faire des conneries n'est jamais l'assurance de pouvoir réussir. J'échouais dans un commissariat à l'âge de douze ans, pour tentative de vol et me fis clairement allumer par l'inspecteur de police chargé de me faire parler. Mais je connaissais la signification du terme « honneur » et mes lèvres demeurèrent scellées. J'étais doué pour encaisser sans énoncer un mot, et je restais, le temps d'une garde, délicieusement muet. J'ignore les raisons qui le poussèrent, mais cet inspecteur me prit en affection et me donna ce qui était proche d'être une famille. Je retrouvais un foyer, un lit, et l'idée même du repas chaud. Je n'étais qu'un gamin et je me suis laissé faire, retrouvant l'école et même la notion d'amitié. Le destin s'en mêla, et ce furent ses yeux que je croisais. Elle. Mon tout et mon univers. Les larmes se mêlèrent aux cris, étreinte sauvage de deux êtres retrouvés. Je retrouvais la force de son sourire, je retrouvais la beauté d'un visage que je n'avais pu oublier. Et si nous restions séparés, dans deux familles distinctes, nous ne nous séparions en fait plus, bien que le secret de notre sang commun fut dissimulé à nos proches respectifs. Nous grandîmes ensembles, et j'eus le rôle que j'avais peur d'avoir perdu. Celui du frère aîné protecteur qui parfois la faisait hurler. Nous étions proches … peut-être trop proches.
Elle me pardonna difficilement mon départ pour l'armée, tandis que je la délaissais à New York pour courir me faire tuer au Nouvel Orient, comme elle aimait à me le hurler. Mais je savais que c'était ce que je désirais faire, mettre ma vie au service d'un pays qui m'avait empêché de me noyer. De plus, mon père m'y avait poussé, et j'étais tombé amoureux de mon propre métier. Je ne pouvais que rarement rentré, pris dans des engrenages tâchés de sang et de poussières. Les hurlements et les pleurs furent mon quotidien, alors que les coups de feu pleuvaient tout autour de moi. Si la fragilité m'avait un jour habité, elle avait disparut dans ce désert que j'avais arpenté et qui m'avait étreint. La désolation dans laquelle je vivais m'avait endurcit, emprisonnant mes sentiments dans un bloc de glace, et une froideur réelle se dissémina sur mes traits rigides. Je tuais … sans véritables remords, incapable de pouvoir même en éprouver si ma conscience ne voulait m'être rappelée. La guerre était un poison, gangrène qui anéantissait beaucoup des miens. Je n'avais pas ce problème. Mon enfance et les souffrances que j'avais enduré me permettaient de me protéger efficacement, bouclier qui ne pouvait s'effondrer. Du moins l'avais-cru.
« Julian ? » C'était un souffle pour cette voix, tandis que je maintenais l'appareil contre mon oreille. Les rues de New York étaient bruyantes, et j'avais du mal à entendre ma jeune sœur dans un tumulte auquel je ne pouvais échapper. « Oui, c'est moi. Écoute je suis à l'aéroport et ... » Je m'interrompis brusquement, lorsqu'une l'éclat d'une porte claquée me chatouilla l'oreille. Quand à elle, elle était parfaitement silencieuse, si ce n'est ces quelques soupirs, qui ressemblaient étrangement à des sanglots, qui me parvenaient. « Perle ? » « Julian … je t'en prie, viens vite. Il est ... » Un hurlement retentit et me glaça les sangs, alors qu'une voix masculine s'y mêlaient. L'angoisse renferma sa main griffue sur mon cœur qui tambourinait, affolé. « Perle ! » Un nom, un seul et quelques lettres. Des hurlements, des supplications. Je laissais tomber le téléphone, ainsi que mon sac qui s'écrasa sur le sol dallé. Je courais. Je courais aussi vite que me le permettait mon cœur écroué par une peur sans nom.Je m'engouffrai dans un taxi, donnant à l'arrache l'adresse. Ce fut une course, une course contre le destin, une course contre moi-même. Je savais où elle était mais des centaines de mètres se mettaient entre moi et elle. La frayeur … insoutenable blanchissait mon teint alors que je gravissais les marches une à une. Cependant, lorsque je fracassais la porte, il était trop tard. Ce fut elle que je vis en premier, elle étendue sur le sol tandis que des bleus tapissaient son corps. Quand à sa tête … du sang se déversait sur le sol, tandis que ses yeux, toujours ouvert, me fixaient sans vie, néant dans lequel je ne pouvais plus me perdre. Ma gorge se serra, et la tristesse, la souffrance m'écrouèrent, larmes traîtresses qui venaient s'ajoutaient dans mes prunelles assombries. Puis, il y eut lui. Il pleurait, à genoux sur le sol. Ma douleur se mua en haine, tandis que mes doigts accrochaient l'arme qui pendait dans mon veston. Je tendis le bras, les yeux rétrécis, insensible à sa prétendue douleur. La peur se déversa sur ses traits. « Je t'en prie … je l'aimais … je ne voulais pas. » « La ferme ! » hurlai-je. Mon corps tremblait mais pas mon bras. Elle était morte, seule réalité que je côtoyais. Je l'avais abandonné. Je n'avais pas été là. « Lâchez votre arme ! » L'ordre ne m'atteignit pas. Je ne regardais que cet homme qui me fixait, délavé par la frayeur. « Je t'en prie … tu vas le regretter. » « Non » fis-je avec une dureté inhumaine. Je tirais, sa tête explosait. Je ne ressentais plus rien. Je me mis à genoux, menotté, allumé. Je m'en moquais. J'étais vide. Abandonné et délaissé. Et seule la souffrance m'accompagnait.
Dernière édition par Julian Davidson le Sam 23 Mar - 14:34, édité 7 fois |
| | | Julian Davidson~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ › MESSAGES : 16 › AVATAR : Colin O'Donoghue › CREDIT : .... › PSEUDO : irl
| Sujet: Re: Julian - Le passé ne cesse de hanter le présent Mar 19 Mar - 16:10 | |
| I FELT APART, COME BACK UP AGAIN. Huit ans de prisons … La sentence tomba et je l'acceptai, même si mes parents la trouvaient injuste. Mais je n'avais pas été en légitime défense, j'avais simplement désiré sa mort, plus qu'aucune autre. Je l'avais eu et je payais, je ne pouvais m'en plaindre. D'autre part, la prison représenta un rempart contre l'extérieur où elle n'existait plus. Et bien que l'ombre noircissait mon cœur délaissé, la fierté me poussa à la dissimuler. L'humour devint la légèreté qui me manquait et le charme, la confiance qui m'avait abandonné. Je n'avais pas tellement de problèmes, respecté facilement de part mon tempérament bagarreur. D'autre part … il y avait Callie. Une rencontre étrange, puisque nos prisons cohabitaient, un coup de foudre immédiat. Elle était rafraîchissante et à sa manière, elle me rappelait celle que j'avais perdu. Elle devint un rayon de soleil dans mes journées monotones, et, à ses côtés, j'avais la sensation de redevenir l'adolescent que j'avais été. Naturel. Sans ses émotions qui me pourrissaient la vie, tel que cette culpabilité insoutenable, non pas née de ce type que j'avais tué, mais de cette sœur que je n'avais su protéger. Je me sentais bien, apaisé. Il me fut difficile de résister et l'amour m'envahit, même si ce dernier m'effrayait au delà des mots. J'avais déjà fait l'expérience de la perte et de la souffrance, et j'allais la perdre irrémédiablement. Pourtant … la prison, si elle était mienne, n'était pas sa place, et je ressentis un certain soulagement à l'idée qu'elle sorte. Ma bonne conduite me permet une autorisation spéciale, celle de pouvoir lui dire adieu, dans l'espoir secret que cette rencontre ne serait pas la dernière. Son minois fin, encadré de boucles brunes, allait me manquer plus que les mots ne sauraient le dire. Je la regardais partir, et au fond, elle me fit ressentir, une nouvelle fois, cette émotion indicible qui me prenait en otage lorsque mon paysage se paraît de son sourire. Le bonheur. Le quotidien fut plus difficile à gérer, mais malgré tout, il y avait ces lettres. Je me gardais bien de dissimuler toute réaction de plaisir que ses mots me procuraient, ayant a réputation d'être un dur et bien trop fier pour admettre qu'elle me manquait. Mais on pouvait difficilement se battre contre soi-même et c'était elle qui paraît mes rêves et mes nuits. Je ne m'attendais pas à sortir, mais brusquement, j'en eu envie. Là était mon opportunité de la retrouver, peut-être de lui avouer ce que je ressentais à son égard. Mais bien qu'elle ait réussit à montrer une autre facette de ma personnalité, la plus obscure lui ayant été dissimulée en partie, j'allais être rattrapé plus vite que je ne l'aurais escompté. J'avais perdu ma cadette, incapable de la protéger suite à l'abandon que je lui avais fait subir en partant brusquement pour l'armée. J'étais devenu une machine, ou vengeance rimait avec violence. Et je n'étais pas certain, quelque soit les menaces qui planaient sur ma tête, de pouvoir retenir mon impulsivité et ma brutalité si Callie se retrouvait dans une situation similaire. Car j'avais tué une fois, je pouvais le faire deux fois. L'amour est la plus folle des faiblesses, le pire comme le meilleur de l'être humain. Je l'assumais et ne pouvais que l'assumer sans que les conséquences ne parviennent à m'effleurer.
Dernière édition par Julian Davidson le Sam 23 Mar - 14:49, édité 1 fois |
| | | Julian Kiedis~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ › MESSAGES : 128 › AVATAR : Johnny Depp › CREDIT : LipsLikeAMorphine (avatar) chester (signature) led zeppelin (paroles) › PSEUDO : Mlle Skellington › AGE : 41 ans. › COTE CŒUR : J'ai un joli petit bout de femme pour me tenir compagnie, merci de demander. › JOB/ETUDES : journaliste musical et vendeur dans un supermarché pour arrondir ses fins de mois.
| Sujet: Re: Julian - Le passé ne cesse de hanter le présent Mar 19 Mar - 16:17 | |
| Oh j'ai un homonyme bienvenue à toi et bonne chance pour ta fiche! |
| | | Callie-Jane Roseburry~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ › MESSAGES : 637 › AVATAR : nina dobrev. › CREDIT : (c) jacage. › PSEUDO : lonely bird (aurélie). › AGE : vingt-quatre ans. › COTE CŒUR : c'est compliqué. › JOB/ETUDES : travaille à mi temps comme serveuse au blackstone irish pub et au night club pour payer ses cours de droit par correspondance.
| Sujet: Re: Julian - Le passé ne cesse de hanter le présent Mar 19 Mar - 16:23 | |
| OH MON SCENARIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIO JE T'AAAAAAAIME Si tu as besoin de quoique ce soit, n'hésite pas à me harceler ! BIENVENUE PARMI NOUS ! |
| | | Invité ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
| Sujet: Re: Julian - Le passé ne cesse de hanter le présent Mar 19 Mar - 16:23 | |
| Bienvenue et bon courage pour ta fiche + Tu viens de faire une heureuse |
| | | Nevaeh Lockhart~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ › MESSAGES : 58 › AVATAR : selena gomez › CREDIT : ma très chère frenchaddicted › PSEUDO : dancing queen › AGE : vingt ans › JOB/ETUDES : étudiante en arts
| Sujet: Re: Julian - Le passé ne cesse de hanter le présent Mar 19 Mar - 16:34 | |
| ohhhhh COLIN bienvenue par ici ! |
| | | Matthew Collins~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ › MESSAGES : 93 › AVATAR : Jared Leto › CREDIT : Tumblr + Jacage › PSEUDO : Jomily › AGE : 28 ans › COTE CŒUR : Compliqué › JOB/ETUDES : Inspecteur de police
| Sujet: Re: Julian - Le passé ne cesse de hanter le présent Mar 19 Mar - 17:02 | |
| oh non pas toi *out* Bienvenue |
| | | Elyos-Ayden Winchester~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ › MESSAGES : 200 › AVATAR : Marlon HOT Teixeira › CREDIT : Jacage & tumblr › PSEUDO : LittleAngel › AGE : 25 ans › COTE CŒUR : Célibataire › JOB/ETUDES : Mannequin & pompier
| Sujet: Re: Julian - Le passé ne cesse de hanter le présent Mar 19 Mar - 19:51 | |
| Bienvenue parmi nous courage pour ta fichette |
| | | Invité ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
| Sujet: Re: Julian - Le passé ne cesse de hanter le présent Mer 20 Mar - 7:53 | |
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| | | Zora Lockhart~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ › MESSAGES : 75 › AVATAR : G. Goodwin ♥ › CREDIT : GwenOu › PSEUDO : GwenOu › AGE : 28 ans › COTE CŒUR : en couple › JOB/ETUDES : modéliste designer
| Sujet: Re: Julian - Le passé ne cesse de hanter le présent Mer 20 Mar - 8:18 | |
| colinn!!! Bienvenue à toi! |
| | | Tegan Vaughn~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ › MESSAGES : 93 › AVATAR : josh bowman › CREDIT : free fallin' › PSEUDO : ocean drop
› AGE : vingt-cinq ans › COTE CŒUR : célibataire › JOB/ETUDES : journaliste web
| Sujet: Re: Julian - Le passé ne cesse de hanter le présent Mer 20 Mar - 8:25 | |
| Colin Bienvenue et bonne chance pour ta fiche |
| | | Romy Roseburry~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ › MESSAGES : 142 › AVATAR : ashley greene › CREDIT : avatar: neon bitch (+) gifs; tumblr (+) citations: marc levy › PSEUDO : fanny - petitepuce♥ › AGE : vingt-quatre ans › COTE CŒUR : sorry darling, son coeur est prit! › JOB/ETUDES : criminologue
| Sujet: Re: Julian - Le passé ne cesse de hanter le présent Mer 20 Mar - 13:23 | |
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EXCELLENT CHOIX DE SCENARIO! Bienvenu sur le forum, bonne chance pour ta fiche et pis, tu me gardes un lien au chaud!
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| | | Valery de Luca~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ › MESSAGES : 139 › AVATAR : lana parrilla. › CREDIT : tumblr. › PSEUDO : vendetta. › AGE : trente-cinq ans. › COTE CŒUR : coeur défectueux. › JOB/ETUDES : avocate.
| Sujet: Re: Julian - Le passé ne cesse de hanter le présent Ven 22 Mar - 22:13 | |
| - Spoiler:
Bienvenue Cap'tain & est-il nécessaire de dire que ton choix d'avatar est juste excellent ? (D'ailleurs, parlant de ton avatar, y a le titre d'une chanson de Queen dessus. ) |
| | | Nevaeh Lockhart~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ › MESSAGES : 58 › AVATAR : selena gomez › CREDIT : ma très chère frenchaddicted › PSEUDO : dancing queen › AGE : vingt ans › JOB/ETUDES : étudiante en arts
| Sujet: Re: Julian - Le passé ne cesse de hanter le présent Sam 23 Mar - 0:51 | |
| Ce mec, c'est presque la perfection En gros excellent choix ! et bienvenue. |
| | | Julian Davidson~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ › MESSAGES : 16 › AVATAR : Colin O'Donoghue › CREDIT : .... › PSEUDO : irl
| Sujet: Re: Julian - Le passé ne cesse de hanter le présent Sam 23 Mar - 11:14 | |
| merci à tous le monde pour ce superbe et orgasmique accueil |
| | | Callie-Jane Roseburry~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ › MESSAGES : 637 › AVATAR : nina dobrev. › CREDIT : (c) jacage. › PSEUDO : lonely bird (aurélie). › AGE : vingt-quatre ans. › COTE CŒUR : c'est compliqué. › JOB/ETUDES : travaille à mi temps comme serveuse au blackstone irish pub et au night club pour payer ses cours de droit par correspondance.
| Sujet: Re: Julian - Le passé ne cesse de hanter le présent Sam 23 Mar - 11:52 | |
| Vite vite vite, que je puisse lire ta fiche |
| | | Julian Davidson~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ › MESSAGES : 16 › AVATAR : Colin O'Donoghue › CREDIT : .... › PSEUDO : irl
| Sujet: Re: Julian - Le passé ne cesse de hanter le présent Sam 23 Mar - 12:05 | |
| J'y travaille, je l'aurais finit dans l'après midi |
| | | Invité ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
| | | | Callie-Jane Roseburry~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ › MESSAGES : 637 › AVATAR : nina dobrev. › CREDIT : (c) jacage. › PSEUDO : lonely bird (aurélie). › AGE : vingt-quatre ans. › COTE CŒUR : c'est compliqué. › JOB/ETUDES : travaille à mi temps comme serveuse au blackstone irish pub et au night club pour payer ses cours de droit par correspondance.
| Sujet: Re: Julian - Le passé ne cesse de hanter le présent Dim 24 Mar - 11:48 | |
| OWI OWI OWI OWI OWI ! J'aime ton histoire, je l'ai lu d'une seule traite ** Je te valide donc avec plaisir ♥ Bon jeu parmi nous ! |
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| Sujet: Re: Julian - Le passé ne cesse de hanter le présent | |
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| | | | Julian - Le passé ne cesse de hanter le présent | |
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