NOM : Shelton PRÉNOM(S) : Aaron. Qui était le prénom favoris de sa mère, son père préférait Keith, il en hérita donc de deuxième prénom. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 13 août 1987 à Paris ÂGE : vingt-six ans ORIGINES : Française et Américaine STATUT CIVIL : En couple ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuel. PROFESSION/ETUDES : Aaron vient de terminer ses études de droit, mais il a complètement changer d'orientation et viens de se lancer dans la police. GROUPE : Open The Mind

~ comment as-tu découvert la légende de l'avenue Stanley Hall ? Comment ignorer cette légende ? Sérieusement ? Surtout quand vous vivez ici depuis votre plus jeune âge. Tout le monde en parle, enfin, surtout les jeunes au coin des feux. J'en ai entendu parler lors d'une soirée au lycée d'ailleurs, un jeune à moitié déchiré essayer de faire peur aux autres avec cette histoire et puis il s'était bien viander cet idiot, un vrai bide. Même moi, je l'aurai mieux raconter si je l'avais connue avant ~ penses-tu que cet événement est réellement eu lieu ? Oh, je vous en pris, une légende urbaine est un mythe pur et dur. Toute cette histoire à été créée pour activer le tourisme et surtout l'imagination des jeunes du coin, mais une chose comme ça ne peux pas être vrai. Chaque ville à sa propre histoire, celle notre ville est originale, je suis d'accord, mais au moins, elle fait parler. Mais les gens devraient arrêter avec ça, sérieusement, ça prend vraiment des ampleurs de dingue. ~ quelle est la légende urbaine qui t'effraye le plus ? Je suis pas un grand fan de toutes ces bêtises qui ne servent qu'à faire parler, mais si on doit vraiment choisir, je dirais la légende de Bloody Mary. C'est l'une des plus célèbres, mais elle fait froid dans le dos, j'adore la raconter pour faire hurler les enfants, mais bon, elle remonte à bien longtemps celle-là ! Un grand classique, et tout le monde sais que les classiques sont les meilleures choses au monde !

Un léger soupire s'échappa des lèvres du jeune homme, mais il n'était pas assez fort pour masquer les hurlements de son géniteur. Voilà maintenant vingt bonnes minutes que ce dernier s'évertué à hurler dans toute la maison après son fils, et tout ça commençait sincèrement à rendre Aaron complètement dingue. Le jeune homme commençait à se dire qu'il n'aurait jamais du lui parler de ses plans pour l'université, et notamment du fait qu'il comptait partir à Southington, chez sa mère. Depuis qu'il est né, Aaron à toujours vécu en France, chez son père, drôle de vie me direz-vous. Ses parents se sont séparés alors qu'il n'avait que 2 ans, et papa à obtenu la garde car maman n'avait pas assez de ressources pour éduquer le petit Shelton. Mais du haut de ses 16 ans, le garçon savait maintenant ce qu'il voulait, et quitter la France était une bonne solution pour passer à autre chose. Le problème, c'est que papa n'a pas très bien pris la nouvelle, mais Aaron ne reviendrait pas sur sa décision, il allait partir en Amérique, qu'il le veuille, ou non. Aaron se leva brusquement, faisant soudainement face à cet homme qui voulait garder son fils sur le territoire français. "Je m'en vais papa, cette université me convient parfaitement, et j'en ai marre de la France, je veux voir autre chose." "Tu n'es pas capable de décidé quelle chemise tu vas mettre et tu pense savoir ce qui est bon pour toi ?! Tu n'es qu'un gosse Aaron ! Tu aura tout ce dont tu as besoin ici !" Pour la première fois de sa vie, le blondinet défia son père du regard, il ne reconnaissait plus l'homme qui l'avait élevé toute sa vie, celui qui l'avait toujours encourager à devenir ce qu'il voulait. "Tout, sauf ma mère" Bon, d'accord, tout ça n'était qu'un pauvre prétexte, mais il avait au moins eu le mérite de faire taire son paternel. Aaron en profita pour s’éclipser dans sa chambre, il savait qu'il avait gagner cette bataille, du moins, pour cette fois-ci.

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Ces premiers temps en Amérique ne furent pas vraiment des plus simples. Le garçon parlait parfaitement l'anglais, mais le plus dur était l'intégration dans ce nouveau lycée. Il aurait du attendre la fin de l'année, mais non, monsieur je-suis-têtu-comme-une-mule avait décidé de tenir tête à papa jusqu'au bout, et il avait déménager en court d'année. Le point positif était qu'il avait repris contact avec sa famille américaine, et notamment sa cousine, Lilly, tout les deux ont très vite donner existence à un lien très fort, ils se considéraient comme frère et soeur, et attention à celui qui oserait la toucher.
La fin du lycée arriva plus vite que ce qu'il avait crus, et l'université s'offraient finalement à lui. La "Central Connecticut State University", enfin, il parvenait à y entrer, après tout, il était en Amérique pour ça non ? Bref, sa rentrée se fit dans les meilleures conditions possibles et Aaron trouva rapidement son bonheur dans les études de droit. Enfin, ça ne dura pas bien longtemps. Le jeune homme est une personne qui aime bouger et se dépenser de toute les façons possibles, alors rester assis devant un bureau pour bosser ses cours, ça le rendit fou assez rapidement. C'est à ce moment précis que le garçon commença à fréquenter les soirées étudiantes, Aaron était bien décidé à évacuer son trop plein d'énergie dans les fêtes et le sport. En effet, le jeune homme n'a pas gagner son corps d'athlète aussi facilement. Il adore le sport et ne passe pas une journée sans en faire, c'est sa drogue à lui. Sport qui le noua d'ailleurs d'amitié avec la moitié de l'université, rapidement, le jeune garçon devint populaire, et puis son petit accent français faisait très bien son effet.

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"Aaron ! T'es pire qu'une fille bouge toi !" Bon, son pote n'avait pas tort, Aaron était dans la salle de bains depuis une heure déjà, mais bon, quitte à aller faire la fête, autant être présentable. "J'arrive !" Quelques minutes plus tard, le blondinet sortit de la salle de bain, prêt à faire la fête jusqu'au bout de la nuit. Mais la personne qu'il rencontra ce soir là, il ne l'oublierai certainement jamais.
Tout juste arrivé, sa chère et tendre cousine l'avait traîné à travers toute la pièce pour le présenter à son amie. Quand il la vu, Aaron compris où Lilly voulait en venir. Elle lui avait montrer des photos de cette jeune femme quelques jours plus tôt, et Aaron était tombé sous le charme. Il avait rarement vu une femme dotée d'une telle beauté et elle dégageait quelques chose que les autres n'avaient pas, on peux dire qu'en chair et en os, elle était une véritable déesse. "Tu es encore plus belle que sur les photos !" C'était les seuls mots qu'il avait su aligner cette nuit là, mais une chose est sûre, il ne la laisserai pas filer si facilement. Romy avait éveillé quelque chose en lui, une chose qu'il n'a jamais connu avant de la voir, et ça, il ne risque pas de l'oublier.

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Le problème était qu'Aaron n'avait pas recroisé cette belle brune après la soirée, leur cours différés, et se trouver dans cette université relevait du défi. Il sauta donc sur l'occasion dans sa cousine l'informa que Romy avait besoin d'un conducteur, heureusement qu'il avait passé son permis en arrivant aux Etats-Unis ! C'était donc de cette façon qu'il l'avait revu, dans sa voiture, en essayant de la draguer tant bien que mal. Il avait tenté de la flatter, d'exposer son point de vu, et de la charmer. Cette fille lui avait vraiment fait un truc de fou ! Il la voulait, et il l'aurait. Lilly l'avait bien évidemment prévenu que la jeune femme était concentrer sur les études et tout le blabla, et il respecterai ça ! C'est vrai qu'Aaron n'est pas trop sérieux à ce niveau là, mais le jeune homme à pour habitude de respecter les envies des gens, et surtout les siennes. Aaron l'avait laisser devant son dortoir, à contre-coeur. "J'espère te voir bientôt Romy, très bientôt"

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La fin de l'université ! Grande libération pour Aaron, et surtout lorsqu'il apprit qu'il avait décrocher son diplôme de droit ! Le jeune homme s'empressa de rentrer chez lui, un large sourire avait pris place sur ses lèvres, sourire qui s'effaça rapidement. En arrivant devant chez lui, des voitures de police étaient devant la maison, avec une ambulance. Aaron s'approcha, perdu. Un agent de police l'arrêta immédiatement, Aaron s'identifia. Les secondes qui suivirent sont encore floues dans son esprit, mais une phrase restera à jamais gravée dans sa mémoire : "Toutes nos condoléance pour votre mère." L'ancienne madame Shelton venait de mettre fin à ses jours, pendue.
Voilà comment Aaron s'est retrouvé à passé le concours d'agent de police, épreuve qu'il réussi sans problèmes. Il était sportif, motivé, il avait tout les talents pour son job. Aaron pensait dur comme fer que sa mère ne s'est pas suicidée, elle n'en avait pas l'esprit, et il compte bien rétablir le dossier afin de prouver ce qu'il avance.
C'est d'ailleurs juste après son intégration qu'Aaron fit une chose qu'il n'aurait jamais dû, jamais. Tromper Romy. Pourtant Dieu sait qu'il est raide dingue d'elle, leur idylle bas son plein, mais il n'a pas pu s'en empêcher. Besoin de penser à autre chose? Ou les absences de Romy pour son job ? Il n'en savait rien, mais une chose est sûr, elle ne doit pas l'apprendre, cela détruirai leur relation, et peut-être bien plus.