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 faites l'amour, pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires (amalia).

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Amalia Roach
Amalia Roach
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MessageSujet: faites l'amour, pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires (amalia).   faites l'amour, pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires (amalia). EmptySam 16 Mar - 15:51


FEAT ROSIE TUPPER (C) TUMBLR

amalia roach
I find it kinda sad the dreams in which i'm dying are the best i've ever had.
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NOM : Roach, nom qui lui vient de son père, mais autant dire qu'elle aimerait bien ne plus le voir sur sa carte d'identité, il lui fait vraiment honte. PRÉNOM(S) : Sa mère était seule quand elle a vu le jour, donc c'est elle qui a pris l'initiative de la prénommée Amalia, un prénom simple et plutôt joli, c'est le seul et il est bien suffisant. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : Hartford, capitale du Connecticut un sept mars. ÂGE : Vingt ans tout juste. ORIGINES : Américaine. STATUT CIVIL : Célibataire, l'amour lui fait beaucoup trop peur. ORIENTATION SEXUELLE : Hétérosexuelle. PROFESSION/ETUDES : Elle est vendeuse dans un magasin de puériculture. GROUPE : Open the mind.

be proud of who you are.
~ comment as-tu découvert la légende de l'avenue Stanley Hall ? C'est ma chère cousine qui m'a mis dans la confidence, me racontant ça quand j'ai débarqué dans sa famille quand j'avais à peine dix-sept ans, alors que j'étais au plus mal et que j'essayais de remonter la pente. Nous étions dans sa chambre, la lumière éteinte et elle a commencé à me raconter cette légende complètement idiote en pensant très certainement me foutre les jetons, mais j'ai fini par éclater de rire. Elle a fini par me suivre dans mon délire et j'ai fait en sorte de lui raconter aussi une de ces histoires dont j'avais entendues parler auparavant, ça nous a fait passer un agréable moment ensemble. Cela nous a permis de retrouver ce lien familial qui n'avait pas eu le temps de se construire des années auparavant. ~ penses-tu que cet évènement est réellement eu lieu ? Des foutaises, tout simplement une légende qui est racontée pour faire flipper les gens qui viennent d'arriver dans la ville ou encore les plus jeunes. Bien entendu, ça pourrait faire vraiment peur, mais c'est tellement tirer par les cheveux que je n'y crois pas une seule seconde et puis il faut être un peu dingue pour hurler pour exorciser je ne sais trop quoi. Parfois je me demande si je ne suis pas tombé dans une ville de dingue, il faut l'être un peu pour avoir l'esprit assez tordu pour inventer ce genre de chose. Ou alors complètement malade. Je ne comprends pas comment les gens peuvent y croire et continuer à raconter ce truc avec une conviction qui dépasse l'imagination. Il faudrait me payer pour que je consente à y croire et encore, il faudrait sortir les billets, voir les lingots d'or. ~ quelle est la légende urbaine qui t'effraye le plus ? Je dois avouer que la légende urbaine qui m'a réellement fait peur, c'est celle de H. H. Holmes et son château des horreurs. Il faut vraiment avoir l'esprit mal placer pour tuer une femme afin de prendre en charge la boutique de son défunt époux et le transformer en hôtel à son goût. L'endroit est devenu un véritable terrain de jeu pour lui, il avait aménagé les pièces de manières à piéger les pauvres touristes et s'amuser avec eux. Je dois dire que quand j'ai lu l'histoire, j'ai eu du mal à y croire, mais heureusement il a fini par se faire prendre et juger, une bonne chose pour les potentielles victimes car il était partie à l'aventure en parcourant les États-Unis. Sa dernière volonté a été d'être enterré dans un bloc de ciment afin que son corps ne soit pas mutilé. Complètement dingue le type.

JOOLS:



Dernière édition par Amalia Roach le Sam 16 Mar - 16:43, édité 9 fois
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Amalia Roach
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MessageSujet: Re: faites l'amour, pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires (amalia).   faites l'amour, pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires (amalia). EmptySam 16 Mar - 15:51

I FELT APART, COME BACK UP AGAIN.

J'ai mal, terriblement, mais je garde la bouche bien fermée afin de ne pas faire entendre les sanglots qui veulent passer mes lèvres, cela ne ferait que le rendre plus furieux et je n'ai pas envie d'en recevoir plus. Cela ne fait même pas deux jours qu'il est rentré, j'ai senti mon cœur se serrer douloureusement quand maman est entré avec un grand sourire et nous à annoncer la grande nouvelle avec à mon frère et moi. « Papa rentre les enfants, nous allons pouvoir reprendre notre petite vie de famille. » Je n'ai rien dit, du haut de mes dix ans j'ai compris depuis longtemps que notre cellule familiale à éclater depuis longtemps, mais je la laisse croire ce qu'elle veut, ça la rend heureuse. J'ai bien vu le regard de mon frère s'éclairer en entendant ses mots, il faut avouer qu'il a toujours eu une bonne relation avec notre géniteur, peut-être tout simplement parce que c'est un garçon. Autant dire que moi j'appréhendais déjà les retrouvailles, je ne le connaissais pas vraiment au bout du compte et il n'avait jamais cherché à comprendre qui je pouvais être. Je crois qu'à ses yeux, je ne suis qu'une erreur de la nature et il me le faisait toujours bien comprendre, comme maintenant. Pourtant, je ne pense pas avoir fait quelque chose de mal puisque j'étais assise à la table de la salle à manger en train de faire mes devoirs. Travailler n'est pas quelque chose de terrible après tout, mais à ses yeux oui, surtout quand cela vient de moi. Il a soupiré pendant un bon moment avant de se mettre sur ses jambes et s'approcher de l'endroit où je me trouvais avant de prendre la parole. « Qu'est-ce que tu fiches encore ? » J'ai gardé le silence pendant un moment, ne sachant pas si je devais prendre la parole ou pas et c'est donc d'une petite voix que j'ai réponde. « Mes devoirs de mathématiques. » Il a rigolé d'un rire sans joie avant d'attraper mon cahier pour y jeter un coup d'oeil avant de l'envoyer valdinguer de l'autre côté de la pièce sans même que je me rende compte de son geste. Pourquoi est-ce qu'il faisait ça, c'était la grande question. Je n'ai rien dit pourtant, par ce que je savais qu'il cherchait que je me rebelle afin de pouvoir s'en prendre à moi, mais j'étais moins bête que lui. Mais ça n'a pas semblé suffire, il a attrapé ma queue-de-cheval et m'a tiré si fort qu'un cri à passer mes lèvres et que j'ai récolté la première gifle de la journée. « Pourquoi travailler quand on sait tous que tu ne seras qu'une misérable comme ta mère, capable de ne rien faire de ses dix doigts. » J'avais envie de rétorquer que c'était elle qui nous faisait vivre pendant qu'il vivait comme un pacha entre quatre murs, mais cela ne ferait qu'augmenter sa fureur et je savais qu'il pouvait complètement déraper. Toutefois, je sais qu'il n'a besoin de rien pour s'en prendre à moi et les coups commencent à pleuvoir et les souvenirs affluent, les horreurs qu'il m'a déjà fait vivre auparavant. Mon père est un monstre sans cœur. Je le laisse prendre son plaisir pendant je ne sais combien de temps avant que je ne sente plus rien que le silence autour de moi. Un bruit dans la cuisine me fait comprendre que ma mère est revenu des courses, c'est donc ce qui l'a poussé à mettre fin à son petit jeu favori. Je me relève avec difficulté, la douleur est terrible, je crois bien que c'est la première fois que je la ressens de cette manière. Avant de me rendre dans ma chambre, je m'arrête dans l'embrasure de la porte mais ma mère ne se retourne même pas, mais je sais qu'elle a conscience de ce qui vient de se passer. Je la déteste pour ça, pour être faible et se laisser dominer. Une larme coule sur ma joue et je pars tranquillement vers mon antre. Une fois arrivée, je ferme la porte avant de me laisser tomber sur mon lit pour laisser les larmes couler librement et je fais ce vœu qui est le même depuis que je suis toute petite. « Faite qu'il reparte bientôt, s'il vous plaît, faite qu'il reparte bientôt. »

Ça tourne drôlement, beaucoup trop même, j'ai l'impression d'être dans un manège alors que mes pieds sont bien ancrés dans le sol. Un petit rire passe mes lèvres avant que je pose une de mes mains sur mes lèvres. L'appartement est silencieux, tout le monde est dans les bras de Morphée depuis bien longtemps et quand je regarde la pendule, un nouveau rire essaye de m'étreindre. Il est un peu plus de quatre heures du matin, je parie que ma mère a dû se faire un sang d'encre à attendre que je rentre de chez Jenny avec qui je devais étudier pour notre contrôle de chimie. Ça avait été sympa, même si ça avait fini par littéralement dégénéré et tourné en fiesta du tonnerre. Ses parents allaient péter littéralement un plomb en voyant l'état de la maison, la pauvre, je la plains mais heureusement son père n'est pas comme le mien. J'avance dans le noir après avoir réussi tant bien que mal à fermer à double tour la porte d'entrée, mais ce n'est pas très facile quand le sol n'est pas très droit, je me demande qui a fait ça pendant mon absence. Au bout de la troisième collision avec je ne sais quoi, j'arrête de compter et j'avance encore plus rapidement afin de rejoindre ma chambre pour enfin pouvoir me reposer un peu. Mais à ma grande surprise, quand je rentre dans mon petit repère, il y a déjà quelqu'un sur mon lit et je sens que je vais en prendre pour mon grade. Mon frère allume la petite lampe qui se trouve sur ma table de chevet avant de se redresser de toute sa hauteur, je n'avais jamais remarqué qu'il était aussi grand et je ne peux m'empêcher de laisser passer une exclamation surprise de ma bouche. « Waouh, t'est un géant. » Il ne fait même pas attention à ce que je dis, ce qui n'est pas vraiment sympa, mais ça ne m'atteint pas et je m'installe sur mon lit pour enlever mes chaussures. Lui ne bouge pas d'un pouce et m'observe attentivement avant d'attraper mon visage à deux mains pour faire je ne sais trop quoi, en tout cas je vois qu'il n'est pas heureux de ce qu'il voie. « Tu es complètement défoncé. » C'est loin d'être une question, mais plutôt une constatation. Je penche la tête et le regarde avant de soupirer, il vient de me casser ma super ambiance, moi qui étais de bonne humeur. « Qu'est-ce que ça peut te faire, t'est pas mon père. » Les mots le touchent, je le vois très bien et pendant une seconde je ne peux pas m'empêcher de m'en vouloir. Je peux réellement être idiote quand je le veux et ça peut vraiment frôler le summum, pourquoi est-ce que j'ai parler de cet idiot, là maintenant, alors qu'il n'avait rien à voir dans cette maudite conversation. « Encore heureux pour toi, tu sais bien ce qu'il aurait fait s'il t'avait vu dans cet état. » Un petit rire passe mes lèvres pendant que je me redresse difficilement pour m'approcher de lui tout en enlevant mon haut, je me retrouve en soutien-gorge devant lui mais cela m'importe vraiment peu. « Ouais je sais très bien, cela aurait peut-être rajouter une ou deux cicatrices à mon palmarès, tu veux voir ? » Je me retourne sans lui laisser le temps de répondre et je sens ses yeux courir le long de mon dos avant qu'il ne détourne le regard. Entre les coups de ceinture et les cigarettes écrasées, j'ai eu mon compte, mais je crois qu'il n'avait pas conscience qu'il allait aussi loin. Il pensait peut-être que les baffes lui suffisaient. « Ça t'en bouche un coin, ouais, il aime bien s'amuser avec moi... Alors oui je suis complètement défoncé, dans un état complètement déplorable même, mais tu sais quoi, je ne me suis jamais senti aussi bien de ma pauvre petite vie. » Il est choqué, mais je m'en fiche complètement, je crois que c'est dur pour lui de voir sa petite sœur de quinze ans se détruire comme ça, volontairement. Mais qu'est-ce qui m'attend pour mon avenir, rien de bien passionnant, alors autant profiter du moment présent. Je me retourne vers lui et plante mon regard dans le sien, je ne sais pas combien de temps on reste comme ça, mais il brise le silence à nouveau. « Tu te rends compte que les mecs peuvent abuser de toi dans les soirées quand tu n'est pas dans ton état normal ? » Alors là, je pose une main devant ma bouche afin de retenir mon éclat de rire. Il pense que je suis encore la gentille petite fille qui joue à la poupée, il se fout le doigt dans l'oeil jusqu'au coude. Je ne lui réponds pas pendant que j'ouvre mon lit et attrape mes affaires pour me rendre à la salle de bain, mais quand je suis à la porte je ne peux pas m'empêcher de lui asséner le coup de grace. « Ils n'ont pas besoin que je sois complètement défoncé pour abuser de moi, je leur offre mon corps de bonne grâce. » Ne voulant pas voir sa réaction, je me détourne rapidement et m'enferme dans la petite pièce qui nous sert de salle de bain, c'est tellement petit qu'on ne pourrait pas y tenir à deux. J'allume à la lumière et observe mon visage dans la glace en face de moi, c'est vrai que je ne suis pas très belle à voir, mes yeux sont rouges et mes pupilles complètement dilatées. Le réveil va être assez difficile demain, mais je ne regrette rien, j'ai le droit de faire ce que je veux de ma vie, personne n'a le droit de commander mes faits et gestes, surtout pas ma famille. Mais au fond je le sens, je le sais très bien, je suis misérable.

Je suis devant le bâtiment depuis pratiquement une heure, mais je n'ai toujours pas eu le courage de pousser la porte et je ne sais pas si je le trouverais aujourd'hui. Pourtant je sais que je dois le faire, pour moi, pour pouvoir avoir l'espoir d'un avenir et tout simplement car je ne veux plus avoir à revivre ce que j'ai vécu. Quand j'ai ouvert les yeux et que je me suis retrouvé dans cet environnement complètement inconnu, j'ai flipper comme jamais, j'ai pensé que quelqu'un m'avait enlevé ou quelque chose dans le genre. Puis en tournant la tête, j'ai découvert le visage fatigué de mon frère, les yeux rougis par les larmes qui avaient certainement coulé pendant un bon moment, un air plus qu'attristé peignant ses traits. J'ai eu le cœur qui a manqué plusieurs battements, c'était horrible de le voir comme ça, lui qui avait toujours été le plus fort de nous deux et qui me semblait tout simplement indestructible. J'ai détourné les yeux pour regarder de l'autre côté et j'ai compris en voyant ma mère endormie sur un fauteuil, où je me trouvais. L'hôpital. Sur le coup je ne comprenais pas pourquoi j'avais atterri ici, j'avais seulement été à une soirée... Petite fête dont je ne me souvenais pas du tout, qui me semblait n'avoir jamais eu lieu. J'avais eu un accident ça ne pouvait être que ça, mais pourquoi est-ce que je ne ressentais aucune douleur, sauf dans ma tête, j'avais l'impression qu'elle allait littéralement exploser. La panique à commencer à m'envahir et j'ai commencé à tirer sur les fils attacher à mes bras, arrachant la perfusion. Il ne fallait pas que je reste ici, non ce n'était pas possible que je sois arrivé dans ce lieu sans savoir pourquoi. J'avais déjà eu quelques trous de mémoire, mais pas comme ça. « Amalia, calme-toi s'il te plaît, sinon j'appelle les infirmières pour qu'elle le fasse à leur manière. » La voix de mon frère me détend un peu, mais je n'arrive toujours pas à comprendre ce que je fiche ici et je n'ai pas le temps de parler qu'une femme entre avec un sourire. Elle me jette un regard et voit les dégâts que je viens de proférer, elle ne dit pas un mot et ressort presque aussitôt. Je dois être en train de devenir folle, ça doit être ça et j'ai fini à l'asile, il ne peut pas y avoir d'autre réponse à tout ça. Tout un tas d'idée plus folle les unes que les autres envahissent mon esprit quand je vois revenir l'infirmière avec du matériel dans les mains, elle va devoir reposer ma perfusion, mais je ne suis pas d'accord. « Je veux pas, laissez-moi tranquille. » Je me débat comme une folle, bougeant les bras afin qu'elle ne puisse pas les atteindre et il faut avouer que je suis surprise d'avoir autant de force alors que j'ai l'impression de ressembler à de la pâte à chewing-gum. Mon frère tente de lui donner un coup de main et je remarque que ma mère est réveillée à cause de mon comportement, mais je m'en fiche complètement. Tout ce que je veux, c'est partir d'ici et pouvoir retrouver ma chambre le plus rapidement possible et peut-être savoir pourquoi j'ai atterri dans cet endroit. Mais je peux même ne pas parler, la rescousse de l'infirmière entre dans la chambre et en quelques secondes je me retrouve attaché à mon lit, une nouvelle perfusion au bras. Il faut avouer qu'ils gèrent plutôt bien, je ne dois pas être leur première hystérique dans le service. Ils repartent sans un mot et je laisse les larmes glisser sur mes joues, sans réellement comprendre pourquoi je suis en train de pleurer. Je me sens vraiment mal au bout du compte et je ne sais toujours pas pourquoi, mais je n'ai pas le temps de poser une question qu'une main s'abat sur ma joue, brûlant ma peau comme un fer chaud. C'est comme quand mon père me bat, sauf que là, c'est ma mère qui a eu ce geste envers moi et ça me brise encore plus le cœur. Je recommence à me débattre et je hurle comme une folle avant de la voir quitter la pièce et de sentir l'étreinte de mon frère sur moi, m'apaisant. « Tu es dingue, petite sœur, pourquoi est-ce que tu as fait ça ? Hein ? Pourquoi est-ce que tu as essayé de mourir ? » Quoi ? C'est donc ça la raison de mon hospitalisation, j'ai tenté de me suicider ? Ce n'est pas dans mon caractère de faire ce genre de chose et je n'ai pas l'impression que quoi que ce soit m'aurait poussé à avoir ce genre de geste. Même si je suis complètement désespérée, je n'aurais jamais le courage de faire ça, j'en suis certaine. « Je voulais pas mourir, je voulais pas... » Il se redresse et me jette un regard terrible, je ne peux même pas dire ce que je vois à l'intérieur tellement il y a de sentiment visible en même temps, ça me coupe la respiration. Tout en passant une main sur son visage, un soupir passe ses lèvres et j'entends sa voix résonner doucement dans la pièce. « Tu es allé à cette soirée, maman t'avait pourtant interdit de sortir, mais comme à chaque fois tu as décidé d'en faire qu'à ta tête, alors elle a baisser les bras. Une chance que je n'étais pas là. Enfin bref, il paraît que tu as consommé plus que d'habitude, beaucoup plus. Garrett était là-bas aussi, il a vu ce que tu as fait, que tu as doublé ta dernière dose tout en sachant très bien ce que cela pourrait avoir comme conséquence... Heureusement qu'il t'a suivi, sinon tu ne serais plus là. » Les mots résonnent encore dans ma tête aujourd'hui, alors que ça fait deux semaines que cette discussion a eu lieu. Pendant mon séjour à l'hôpital, j'ai été obliger de voir un psychiatre afin de parler avec lui de ce qui m'avait poussé à avoir ce geste malheureux, mais n'ayant aucun souvenir je n'ai pas pu lui en parler en profondeur. Mais je dois avouer que discuter, parler de ce mal-être qui m'envahit depuis toujours, ça m'a fait du bien. C'est même-moi qui lui est parler de cette association dans mon quartier et il m'a dit qu'il en avait aussi entendu parler et que ça pouvait être une bonne idée que je m'y rende. Tout était partie de là, de mon envie aussi de m'en sortir. Je peux le faire, je le sais très bien et c'est presque sans m'en rendre compte que j'ouvre la porte et que j'entre à l'intérieur, me sentant gêner sous les regards qui se posent sur moi. Il y a une personne un peu plus loin, un homme qui semble être l'un des membres de l'association et je m'approche de lui doucement, appréhendant un peu le futur. Mais au bout du compte, les mots sortent tout seuls. « Je crois que j'ai besoin d'aide. » Ça y est, c'est fait, maintenant je vais pouvoir reprendre ma vie en main.

Southington, c'est là que j'ai fini par trouver refuge et où j'ai enfin pu me reconstruire. Après avoir repris un peu du poil de la bête, j'ai fouillé dans les affaires de ma mère et j'ai fini par trouver le numéro de sa sœur, ma tante dont je n'avais pratiquement aucun souvenir. Mon père avait toujours tout fait pour nous couper de notre famille maternelle et il avait fini par réussir, comme toujours quand il voulait quelque chose. Donc la dernière fois que je l'avais vu, je ne devais pas avoir plus de cinq ou six ans, autant dire une éternité et j'ai longtemps réfléchi avant de l'appeler, mais je n'avais aucune autre alternative. Quand j'ai entendu sa voix, j'ai eu peur de faire une erreur mais je me suis mise à parler sans réellement m'en rendre compte et pendant pratiquement deux heures on a discuté de ce qu'avait pu nous arriver dans nos petites existences. Je lui expliquais tranquillement ce que j'avais subi pendant mon enfance, ma déchéance une fois entrée dans le monde de l'adolescence et mon envie de me reconstruire loin de mes parents. Elle a compris, m'a dit que j'étais la bienvenue chez elle auprès de gens qui seraient là pour m'aider. Un soulagement incroyable m'a envahi, j'avais enfin le droit à un nouveau départ. Je ne suis partie en pleine nuit, laissant qu'une unique lettre pour dire à ma mère et à mon frère que je devais partir pour moi, que je ne pouvais plus vivre ainsi alors qu'il allait bientôt revenir. Je n'ai laissé aucun indice sur l'endroit où je me rendais afin de ne causer autant tord à ma tante qui m'accueillait de manière si gentille. Quelques affaires dans un sac, le peu d'argent que j'avais de côté et j'ai fermé la porte de mon passé sans aucun regret, sauf peut-être de partir loin de la seule personne que j'aimais, mon frère. Puis j'étais arrivé dans cette ville, le cœur léger. Il m'a fallu un petit moment pour m'acclimater bien entendu, ça n'avait plus rien à voir avec Hartford, mais je me suis tout de même fait ma petite place tranquillement. J'ai même obtenu mon diplôme ce qui n'était pas gagné d'avance et ça, je le dois à ma tante et sa famille. Sans elle, je sais que les choses n'auraient pas été aussi faciles, que j'aurais certainement ramé et fini dans la rue ou encore dans un centre. Je lui dois beaucoup. Pour ce qui est de mes anciens démons, j'ai continué à me faire suivre afin de ne pas sombrer à nouveau, par ce que même loin d'une grande ville, les tentations sont toujours aussi fortes et mes faiblesses sont présentes quoi que j'en dise. Je ne suis pas sortie d'affaire et je ne le serais certainement jamais, mais j'ai fait un pas-de-géant, pour une fois je peux être fière de moi ce qui n'est pas rien. Ici j'ai enfin ce dont j'avais besoin, une famille, des amis sincères et un travail qui me convient plutôt bien, que demander de plus ?


Dernière édition par Amalia Roach le Sam 16 Mar - 19:30, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: faites l'amour, pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires (amalia).   faites l'amour, pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires (amalia). EmptySam 16 Mar - 15:58

BIENVENUE PARMI NOUS ET BON COURAGE POUR TA FICHE !
faites l'amour, pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires (amalia). 984641618
Ton avatar est juste splendide, les yeux fermés et comme ça faites l'amour, pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires (amalia). 3828426745
En tout cas, si tu as besoin de quoique ce soit, n'hésite surtout pas à nous contacter !
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MessageSujet: Re: faites l'amour, pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires (amalia).   faites l'amour, pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires (amalia). EmptySam 16 Mar - 16:00

    Merci beaucoup pour l'accueil, l'avatar je viens juste d'en mettre un autre par ce que j'hésitais avec l'autre, mais je vais sûrement le remettre du coup.

    Si j'ai des questions, je viendrais demander.
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MessageSujet: Re: faites l'amour, pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires (amalia).   faites l'amour, pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires (amalia). EmptySam 16 Mar - 16:00

MDR Mais celui ci est tout autant magnifique mignon
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MessageSujet: Re: faites l'amour, pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires (amalia).   faites l'amour, pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires (amalia). EmptySam 16 Mar - 16:02

Bienvenue et bonne chance pour ta fiche ma jolie. j\'ai rien fait mignon Si tu as des questions, le staff est là. faites l'amour, pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires (amalia). 2752390508 roi d\'la terre
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MessageSujet: Re: faites l'amour, pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires (amalia).   faites l'amour, pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires (amalia). EmptySam 16 Mar - 16:03

    J'avais un coup de coeur pour le précédent, donc le revoilà (non, je change pas d'avis comme de chemise faites l'amour, pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires (amalia). 149973538).

    Merci beaucoup Marley.
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J'avoue qu'il est beaucoup mieux quand même dead
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› AGE : Vingt ans.
› COTE CŒUR : Célibataire.
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    C'est vrai qu'il en jette sheep. Mais je te retourne le compliment aussi pour le tien, Nina est sublime dessus.
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Callie-Jane Roseburry
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MessageSujet: Re: faites l'amour, pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires (amalia).   faites l'amour, pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires (amalia). EmptySam 16 Mar - 16:08

Nan arrête, Rosie a une peau parfaite je veux la même faites l'amour, pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires (amalia). 2124793060
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Amalia Roach
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MessageSujet: Re: faites l'amour, pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires (amalia).   faites l'amour, pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires (amalia). EmptySam 16 Mar - 16:10

    Rosie est mannequin, je pense que c'est une obligation pour elle. Mais Nina est vachement belle aussi, impossible de dire le contraire.
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MessageSujet: Re: faites l'amour, pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires (amalia).   faites l'amour, pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires (amalia). EmptySam 16 Mar - 18:24

La jolie Rosie + ton avatar, magnifique mignon
Bienvenue parmi nous & bon courage pour ta fiche I love you
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Amalia Roach
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MessageSujet: Re: faites l'amour, pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires (amalia).   faites l'amour, pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires (amalia). EmptySam 16 Mar - 19:00

    Merci beaucoup pour l'accueil faites l'amour, pas la guerre, les capotes coûtent moins chères que les bombes nucléaires (amalia). 2124793060.
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Quelle jolie histoire mignon j'aime énormément ta manière d'écrire!
Fiche validée - bon jeu!
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