Lors de la nuit du 13 avril 1962, la petite ville de Southington dans l’Etat du Connecticut célébrait la fête des fondateurs. Cet événement festif, qui avait lieu chaque année depuis son inauguration, aspirait à un renouveau, un compteur remis à zéro. Durant cette traversé vers un nouveau départ, il était de rituel aux douze coups de minuit que chaque habitant hurle pour exorciser leurs péchés, leurs regrets, leur passé. Seulement cette nuit là, en l’espace de ces coups de cloche qui résonnaient à travers la ville, un homme frappa à chacune des portes de l’avenue Stanley Hall. Tous ceux qui ont risqué à ouvrir leur porte ont eu la gorge sauvagement tranchée. Leurs cris de douleur et de détresse furent masqués par ceux des autres habitants et personne ne s’est rendu compte de rien. Ce n’est qu’une fois minuit passé que l’horreur prit place dans les yeux de tous. En tout, une douzaine de personnes ont perdus la vie cette nuit là. Après plusieurs mois de recherches, la police n’a pas donné suite à cette enquête car aucune piste n’a pu être découverte. Voilà l’histoire que contait un étudiant autour d’un feu de camps. « Ce n’est qu’une légende urbaine ! » S’écriait une autre. Et vous, qu’en pensez-vous ?

La petite ville de Southington dans le Connecticut reste un mystère. Personne n'arrive vraiment à savoir ce qu'il s'est vraiment passé il y a plus de cinquante ans. Ce massacre a-t-il réellement eu lieu ou n'est-ce qu'une farce inventé par ses habitants ? Les personnes qui pourraient témoigner de cet événement restent muettes. De nos jours, la ville semble avoir retrouvé son calme, ou presque…