i should be over all the butterflies, but i'm into you. (valery)

FEAT LANA PARRILLA (C) TUMBLR

valery de Luca

darling, you give love a bad name.

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NOM : de luca. PRÉNOM : valery, surnommée val'. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 4 août 1977 à southington. ÂGE : trente-cinq ans. ORIGINES : américaines et italiennes. STATUT CIVIL : c'est... compliqué. ORIENTATION SEXUELLE : bisexuelle. PROFESSION/ETUDES : avocate. GROUPE : back to the past.

be proud of who you are.

~ comment as-tu découvert la légende de l'avenue Stanley Hall ? Par mes parents, bien sûr. Ils sont arrivés à Southington peu avant ma naissance et en ont entendu parler dans le voisinage. Ils ont vite compris que cette légende locale effrayait une bonne partie de la population et, pour s’amuser à mes dépens sans doute, me l’ont raconté très jeune. J’ai été… traumatisée par cette horrible histoire et je n’en ai pas dormi pendant des jours. Bon Dieu, je n’étais qu’une enfant, il faut me comprendre. Mais bon, en grandissant, j’ai rationalisé le tout, même si une partie de moi y croit encore très fermement. Je me dis que tout cela est absurde, mais il n’y a pas de fumée sans feu, comme on dit, alors je crois que les gens ont tort de prendre cela à la légère. ~ penses-tu que cet événement est réellement eu lieu ? Ma foi, sans doute. Une dizaine de meurtres ont été commis cette nuit-là, c’est un fait, et comme il n’y a pas eu d’explications rationnelles… J’aimerais bien penser qu’un homme très malin a profité de cette drôle de coutume annuelle pour égorger ses victimes, mais sans preuves tangibles, nous tournons en rond. C’est malheureux, mais cette affaire restera sans doute un mystère irrésolu pour notre génération et celles à venir. ~ quelle est la légende urbaine qui t'effraye le plus ? La légende de Bloody Mary. Mes amies et moi, au collège, adorions nous amuser avec cette histoire d’invocation, je m’en souviens comme si c’était hier. Certains prétendent que cette Bloody Mary est en réalité la Vierge Marie et comme j’ai reçu une éducation stricte et catholique, je dois dire que ça me donnait la chair de poule. Mais à cet âge, vous savez, on est bête et on fait n’importe quoi. Une fois, avec une amie, on s’était placé devant le miroir de la salle de bain, chez moi, à minuit. On a commencé à répéter le nom de cette supposée entité démoniaque en tournant sur nous-mêmes… puis on a subitement arrêté quand mon amie s’est mise à crier qu’elle avait vu une tierce silhouette apparaître dans le miroir. Son agitation a réveillé mes parents et on a dû aller se coucher sur-le-champ. N’empêche, je dois avouer que je n’ai pas fermé l’œil de la nuit…

VENDETTA:

« a drama in four acts »

feat. valery de luca & loïs spencer

« act one : first kiss »

La passion, c’est tellement abstrait avant le premier baiser.

« Et pour ta gouverne, j’ai déjà embrassé une fille. » Elle ne savait pas quelle mouche l’avait piquée, mais elle avait embrassé une fille. La fille qui travaillait chez elle comme femme de ménage, qui plus est. Comment tout cela avait commencé, Valery de Lucas ne s’en souvenait plus vraiment. Ç’avait été une impulsion, une inspiration. Un désir de prouver à la blonde qu’elle n’était pas ce qu’elle croyait être, surtout. « Je ne te crois pas… » Il était si facile de lui coller l’étiquette de la fille à papa parfaite et prétentieuse et l’entendre de la bouche de Loïs Spencer avait comme été la goutte qui avait fait déborder le vase. Alors elle avait mangé la bouche pour la faire taire. Il n’y avait pas eu de réelle passion, simplement de l’amusement, de la curiosité et un peu de frustration. Un peu de jalousie, aussi, peut-être. Et de possessivité. Mais rien de plus. Pourtant, tout cela s’était envolé lorsque Loïs avait répondu à son baiser. Valery avait senti ses jambes fondre et avant qu’elle ne puisse s’arrêter, avait posé avec délicatesse ses mains sur les épaules de la blonde pour ne pas basculer. Elles s’étaient séparées au bout d’un moment, Valery, la bouche entrouverte, reprenant son souffle avec un petit sourire. « Eh bien maintenant, c’est vrai. » déclara-t-elle, le manque d’éclairage dans le jardin cachant heureusement ses joues devenues légèrement écarlates. Sur ce, la fière Valery s’en alla. Elle allait laisser la blonde digérer ce qui venait de se passer.

Parce qu’elle avait besoin d’en faire autant, de son côté.

« act two : good luck »

« Ma chérie, je crois que tu n’as pas les idées claires. » commença son père, son poing fermé s’appuyant sur la table. « Nous n’aurions jamais dû engager cette petite écervelée. Jamais, jamais… » renchérit aussitôt sa mère, répétant le dernier mot comme un mantra. Les trois de Luca étaient installés dans la cuisine de leur imposante demeure depuis que leur bonne à tout faire avait été plus ou moins renvoyée – en ce moment, la situation était en effet tout, sauf claire. Leur fille unique, si brillante et promue à un bel avenir, semblait avoir littéralement perdu la raison. Les deux adultes ne concevaient pas comment un tel drame avait pu s’abattre sur leur petite existence oisive et parfaite, encore moins à quel moment ils avaient failli à leur devoir de parent. « Récapitulons du début, si tu le veux bien. » suggéra l’homme de la maison d’un ton qui se voulait calme et patient. La jeune femme, assise à la table, les deux mains jointes posées sur ses genoux, n’avait pas encore baissé la tête. Ses yeux d’encre fixaient le mur en face d’elle et évitaient de croiser ceux qui l’avaient élevée depuis sa naissance, tous deux l’encadrant de chaque côté. Sa mère s’était assise, les mains cachant son visage maquillé, quant à son père, il avait préféré rester debout, voulant sans doute prouver qu’il encaissait le coup avec force et bravoure. Irrités par le silence provocateur de leur fille, l’homme et la femme se mirent à la bombarder de questions et de commentaires harassants.

« Depuis combien de temps toute cette mascarade dure-t-elle, dis-moi ? » Deux ans.

« Tu n’as pas pensé à nous en parler, au lieu de nous faire des cachotteries ? » L'idée ne m'a jamais effleuré l'esprit.

« Et ce charmant jeune homme avec qui tu parlais la semaine dernière ? » C’est un hypocrite doublé d’un lâche.

« À mon avis, cela te passera bien un jour ou l’autre. » J’ai bien peur que non.

« Tu es sûre de ce que tu ressens, au moins ? » Oh oui, si tu savais.

« C’est une fille, pourtant, dépourvue de manières qui plus est. » Et alors ?

« Une horrible petite traînée… » Non.

« Si vulgaire… » Tais-toi.

« Si mal élevée… » Tais-toi, je t’ai dit.

« Ma chérie, qu’y a-t-il ? » demanda alors son père, les sourcils froncés. Valery, les lèvres frémissantes, s’était levée durant l’interrogatoire, mettant ainsi fin aux diffamations que profanaient ses parents contre l’être qu’elle chérissait le plus au monde. Si elle avait gardé le silence depuis que ce supplice durait, cette fois, elle n’en pouvait plus. « Il y a qu’il vous faudra accepter le fait que j’aime cette fille. J’aime Loïs. » Loïs, un prénom à la consonance si douce et pleine de promesses, un prénom qui l’obsédait et qui se jouait de son sommeil. Ses parents s’entreregardèrent, visiblement aussi mal à l’aise l’un que l’autre. « Et tu… elle… vous… » Valery se retint de ricaner. Son père qui cherchait ses mots, une première. Il finit par demander : « Elle t’aime aussi ? Votre relation est sérieuse ? » Valery hocha lentement la tête, souriant malgré elle. Les caresses brûlantes de sa compagne et ses lèvres affamées qui goûtaient la liberté étaient imprimées sur sa peau, imprégnées dans sa rétine et la brunette n’avait pas de doutes; ce qu’elle ressentait pour la jolie blonde n’était pas une illusion éphémère. C’était bien plus que cela. Son paternel soupira pour ce qui lui sembla être l’énième fois de la journée. Il regarda sa grande fille, un rictus accentuant les marques de vieillesse qui s’étaient accumulées année après année sur son visage hâlé. « Eh bien, ma foi, je crois qu’il n’y a plus rien à ajouter. Bonne chance, Valery. » déclara-t-il, plus las que courroucé. La jeune femme écarquilla les yeux. « Je te demande pardon ? » « Bonne chance. Pour ta vie de… couple. » « Pour tout. » conclut alors sa mère avec un sourire pincé. Val pencha sa tête sur le côté, un sourire à mi-chemin de la grimace ancré sur ses lèvres. Incertaine de la signification de ces deux derniers mots, elle laissa échapper un petit rire nerveux en balayant son regard de son père à sa mère, de sa mère à son père. « Que voulez-vous dire ? » demanda-t-elle enfin. « Deux jours. Pas un de plus. » La sentence était tombée comme un coup de fouet sur la chair à vif. Valery cilla. Le sous-entendu était clair et net. Et encore pourtant si obscur. La jeune femme se tourna vers sa mère, qui la regardait de biais, une petite grimace de dégoût sur ses lèvres. « Maman ? » Son ton était presque implorant, c'était humiliant, si humiliant. « Va rejoindre... Va la rejoindre. C'est bien ce que tu veux, après tout. » Valery se passa une main dans les cheveux, se retenant de ne pas s'arracher plusieurs touffes à la fois. Il n'y avait rien qu'elle puisse dire, ou faire. Ses parents avaient rendu leur verdict.

« Très bien. » Rien de plus. Ravalant ses larmes, la brunette quitta la pièce froide, quitta cette maison désormais inhospitalière et s'effondra sur le porche, ses bras ramenant ses jambes contre son corps soudainement frêle. Loïs était partie. Bien sûr qu'elle était partie, elle n'allait pas s'éterniser là toute la journée. Mais Valery avait besoin de Loïs, comme Loïs avait besoin de Valery. L'une n'avait plus de toit; l'autre, plus de frère.

La vie n'avait jamais été plus injuste.

« act three : lysandre »

Couchée dans un lit d’hôpital depuis plusieurs heures, Valery s’agrippait avec fougue aux draps moites de sueur, en réalité à tout ce qui était à portée de main, en faisant de son mieux pour ne pas crier comme une possédée. La sage-femme à côté d’elle l’encourageait à extérioriser la douleur – naturelle, persistait-elle à lui rappeler – mais pour la jeune avocate en devenir, c’était hors de question. Leur montrer qu’elle était vulnérable sous leurs regards scrutateurs et scientifiques, non merci. Elle se contentait donc de mordre l’intérieur de ses joues, faisant malgré elle couler un peu de sang. À intervalles réguliers, elle laissait un gémissement traverser ses lèvres scellées, mais en général, elle restait en contrôle. La médecin, de l’autre côté du lit, lui faisait face et l’encourageait à bien respirer, à souffler pour se calmer. L’heure n’était pas encore venue de pousser, mais cela n’allait pas tarder, elle le sentait. Les contractions, que la brune endurait du mieux qu’elle le pouvait, semblaient doubler d’intensité de minute en minute et vint un moment où il lui fut impossible de simplement encaisser. Bientôt, ses gémissements se muèrent en cris et la future maman parvint à parler d’une voix saccadée : « Loïs… S’il vous plaît, je veux voir Loïs. » L’une des infirmières fut chargée d’aller chercher la blonde, qui attendait dans la salle d’attente. Lorsqu’elles revinrent, Valery se sentit réconfortée rien qu’à la vue de la silhouette familière. Elle tendit sa main pour que sa compagne l’agrippe et la serra tellement fort qu’il était étonnant qu’elle ne lui ait rien brisé. « Je t’aime. » lui souffla-t-elle. « Je t’aime aussi, mais garde ton énergie pour faire sortir notre petit Lysandre de ton bedon, tu veux. » « J’aime vraiment ta manière de t’exprim – oh ! » Les contractions revenaient à la charge de plus belle et la sage-femme lui annonça que c’était le moment de pousser pour faire sortir bébé. Et Valery poussa, poussa, poussa... Et sut qu’elle avait réussi cette longue et éreintante épreuve lorsque des cris mécontents que poussait un nouveau-né s’élevèrent tout près. Valery se recoucha sur le lit, car elle s’était légèrement redressée durant les contractions et l’accouchement, et pleura de soulagement. Au diable la fierté, en effet. L’honneur de couper le cordon ombilical revint comme de droit à Loïs, qui s’exécuta avec plaisir. Le médecin et la sage-femme prirent le bébé pour le peser et lui prodiguer quelques soins si nécessaires pendant que les deux femmes échangeaient des regards fiers et complices. Leur premier bébé venait de naître. Ce n’était plus un rêve, mais une réalité. Le médecin revint à elles et déposa l’enfant sur le ventre de Valery avec un sourire bienveillant. La brunette le regarda avec curiosité et amour puis se tourna de nouveau vers sa conjointe. « Je te présente Lysandre. » Le garçon n’avait certes pas été conçu par amour, mais ses deux mères veilleraient à ce que les années à venir, toutes celles qui étaient à venir pour leur petite famille soient différentes.

« act four : betrayal »

Sa main prit son élan et gifla avec violence la joue de Loïs. « Mes parents avaient raison à ton sujet. » C’est ce qu’assena Valery à Loïs lorsqu’elles se revirent ce soir-là dans une atmosphère aussi tendue qu’une corde à linges. « Je ne suis pas d’humeur à entendre tes pathétiques excuses. Prends tes affaires et va-t-en. » Les bras croisés, le regard obstinément au sol, la trentenaire tardait à entendre la porte d’entrée se refermer sur celle avec qui elle avait cru vivre jusqu’à la fin de ses jours. « Et surtout, ne m’appelle pas. » conclut-t-elle d’un ton acerbe. Elle ne daigna pas lever la tête vers elle. Elle n’en valait plus la peine.

⊰ ⊰ ⊰

Lysandre n’aimait pas les légumes, surtout s’ils étaient cuits. Voilà ce que constatait pour l’énième fois Valery en voyant son garçon de onze ans écraser de sa fourchette ses brocolis, ses choux-fleurs et ses carottes sans appétit. Tous deux assis à table, chacun mangeait son repas en silence – en l’occurrence, il ne pouvait pas en être autrement, certes, mais aucun signe de main n’avait encore été échangé entre la mère et le fils. L’ambiance était tendue et Valery savait pourquoi. Cela dit, elle n’allait pas revenir sur sa décision, du moins pas pour le moment. La plaie était encore trop vive, trop laide pour être pansée. « Mange tes légumes, c’est bon pour la santé. » finit-elle par lui dire par maints signes de main. Lysandre ne bougea pas un muscle, ne releva même pas la tête de son plat. « Tu sais que tu ne pourras pas manger de biscuits si tu ne finis pas ton assiette. » le prévint-elle avec un soupir. « Je ne veux pas de biscuits, je veux voir Maman. » expliqua Lysandre avec une moue sur le visage. Val pinça ses lèvres. « Maman est partie. » « Oui, parce que tu lui as dit de partir ! » Lysandre communiquait peut-être avec ses mains seulement, mais la brunette savait quand il haussait le ton. En temps normal, elle lui aurait demandé de se calmer et de lui parler autrement, mais elle était bien trop lasse et déprimée par les récents événements. Elle n’en pouvait plus de supporter les sautes d’humeur de son fils, d’essayer d’encaisser la trahison de Loïs jour après jour et sans succès et surtout, de travailler plus que jamais puisqu’elle vivait désormais seule avec Lysandre. Cela dit, elle ne se sentait pas capable d’en parler, ou même de simplement expliquer ce qui s’était passé, encore moins à un enfant. « C’est compliqué. » « Pourquoi ? Explique-moi. » « Histoires d’adultes. » signa-t-elle évasivement. Le garçon secoua la tête, frustré. Il laissa tomber sa fourchette avec fracas sur son assiette et vint pour sortir de table, les poings serrés, quand Valery l’attrapa par l’avant-bras. Il s’arrêta, se retourna, le regard noir. « Écoute, je suis désolée que cela te blesse, Lysandre, je le suis vraiment. Mais pour l’heure, je ne veux pas qu’elle te voie, qu’elle passe du temps avec toi. » Il y eut un long moment de silence, durant lequel Valery espéra qu’il ait compris et qu’il accepte sa décision. Elle pouvait bien rêver. « Tu es méchante, je te déteste. Elle, au moins, ne me ferait jamais ça. » Ainsi se termina cette houleuse conversation. Lysandre détala jusqu’à sa chambre, où il s’enferma à double tour. Valery, une fois seule, enfouit sa tête dans ses mains. Sa vie était devenue un enfer.

⊰ ⊰ ⊰

Le lendemain matin, le petit garçon n’était pas dans sa chambre et ses souliers ainsi que son manteau avaient disparu. Conclusion : il était parti à l’école trop tôt pour qu’elle puisse l’y conduire. Quant à l’endroit, eh bien ce n’était pas bien difficile à deviner.

Bienvenue parmi nous jeune demoiselle $j\'ai rien fait$

Merci, mais finalement, je vais prendre Lana Parrilla en avatar. Ouais, changement de plan, c'était pas prévu, mais c'est mieux comme ça. I love you

Je demanderai à ce qu'on change mon pseudo une fois que je l'aurai choisi. Laughing

edit : pourriez-vous changer mon pseudo en Valery de Luca, s'il vous plaît ? i should be over all the butterflies, but i'm into you. (valery) 2124793060

Excellent choix d'avatar. Je te change ton pseudo toute suite. Sinon bienvenue et bonne chance pour ta fiche. Si tu as des questions, le staff est là. $roi d\'la terre$

BIENVENUE PARMI NOUS TOI ! i should be over all the butterflies, but i'm into you. (valery) 984641618

LANA EST TROP PARFAITE EN PLUS i should be over all the butterflies, but i'm into you. (valery) 2633992489

C'est un excellent choix !
Si tu as besoin de quoique ce soit, n'hésite surtout pas à nous contacter !
Et j'espère que tu me garderas un lien au chaud

ça fait du bien de voir des adultes héhé, on arrêtera de me traiter de vieux comme ça

bienvenue et bonne chance pour ta fiche! ;)

Merci à tous & Callie, je te réserve un lien avec plaisir. I love you

Bon, je poste pour vous avertir que ma connexion Internet a foiré chez moi et qu'il se peut que j'ai du mal à venir sur le forum dans les prochains jours jusqu'à une date indéterminée. i should be over all the butterflies, but i'm into you. (valery) 2174821901

i should be over all the butterflies, but i'm into you. (valery) 2174821901

(Là, je suis à la bibliothèque, quelle joie. :roll:) Je suis vraiment désolée, mais je pense pouvoir terminer ma fiche (sur Word) avant le week-end, du moins je vais essayer. i should be over all the butterflies, but i'm into you. (valery) 3004170205